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Derrière le correcteur de manuscrit

Je suis Maxime.

Laissez-moi vous expliquer pourquoi je suis le meilleur correcteur de manuscrit professionnel pour vous et votre texte !

Ma bouille de correcteur professionnel de manuscrit

Enfant, mon activité préférée est la lecture. La nuit, enfoui sous la couverture, une lampe torche à la main, je ruse pour continuer de lire bien au-delà de l’extinction des feux.

Bien vite, les œuvres jeunesses ne sont plus suffisantes à mon appétit dévorant, et j’en viens à enfreindre toutes les règles pour subtiliser des romans de science-fiction adultes dans la bibliothèque de mes frères ainés, à mes risques et périls.

À dix ans, je prends un stylo et je rédige mon premier texte. De la science-fiction, bien sûr. Et bien sûr, ce n’est que le premier d’une longue série.

Curieux par nature et amoureux de littérature, je pense me diriger vers une carrière de reporter, mais l’éducation nationale en décide autrement. Délaissant l’écriture pour un temps, j’obtiens un diplôme d’ingénieur en instrumentation.

Les années passent, et l’envie de raconter mes propres histoires revient avec force.

  • En 2010, je publie mon 1er roman, Les yeux d’Opale, de la science-fantasy, chez Gallimard Jeunesse. Il est nominé au GPI et gagne le prix Futuriales des premiers romans en 2011.
  • En 2012 suit La Pucelle et le Démon, un roman de fantasy historique sur Jeanne d’Arc, aux éditions Asgard.
  • En 2016 naît L’Héritier de Clamoria, un roman de science-fiction féministe, aux éditions du 38.
  • En 2017, je décide de m’auto-éditer avec Le Code Minotaure, 1er tome d’une série de techno-thrillers au doux nom de Essentia Humanis.
Mes romans en auto-édition

Aujourd’hui, Essentia Humanis comporte quatre romans et une nouvelle, et je suis en phase d’écriture d’un gros projet de science-fiction.

C’est lors de l’édition des Yeux d’Opale que j’ai découvert le métier de correcteur de manuscrit au travers de deux correctrices exceptionnelles qui ont peaufiné mon roman au-delà de ce que je pensais possible à l’époque.

En 2019, je deviens rédac’ chef du Présences d’Esprits, magazine de l’association éponyme, qui promeut les littératures de l’Imaginaire.

À ce titre, je m’occupe des corrections éditoriales et de la préparation de la mise en page.

Chaque numéro apporte son lot d’auteurs et d’autrices auquel il faut s’adapter. Chacun a un style qu’il faut préserver tout en parvenant à la meilleure lisibilité pour les lecteurs et lectrices du magazine.

J’ai toujours adoré les défis, les expériences nouvelles. Chaque article est pour moi un terrain de jeu et d’apprentissage. J’aime ce travail de correction, en lien avec auteurs et autrices.

L'une des couvertures du magazine pour lequel j'ai été rédacteur en chef.

En 2021, je termine le 1er jet d’un roman qui me donne du mal. Je ne m’en sors pas.

Un jour, je croise Mélanie sur Twitter. Elle a écrit des nouvelles et désespère de trouver un correcteur. Elle est bêta-lectrice.

On décide de s’entraider. Et c’est le déclic pour moi. J’adore soigner ses nouvelles, en extraire la moindre faute d’orthographe ou de style. Mélanie est ravie et moi heureux.

Logo du certificat Voltaire

Je décide de devenir correcteur indépendant.

Mais il me faut un certificat, un diplôme qui atteste de mes aptitudes en français !

En 2022, je passe la certification Voltaire. Je l’obtiens avec 954 points sur 1000 !

Juillet 2022, j’ouvre mon entreprise de correction.

J’ai fait le choix de l’auto-édition depuis plusieurs années. J’en écris. J’en lis. Je connais les difficultés des auteurs et autrices comme les attentes de leurs lectrices et lecteurs.

Être auto-édité, c’est avant tout devoir se battre contre les préjugés. Les écrivains indépendants seraient les refusés des maisons d’édition. Leurs livres seraient bourrés d’incohérences scénaristiques et de fautes d’orthographe.

Parfois, c’est malheureusement vrai. J’ai vu tant d’histoires magnifiques gâchées par de trop nombreuses fautes. Mais ce n’est pas une fatalité !

En ouvrant ma société, c’est avant tout aux auto-édités que je pensais. Je pratique des prix tout doux pour qu’une majorité d’auteurs et d’autrices puissent faire appel à mes services sans y laisser un bras.

Aider les auto-édités, promouvoir ce type de littérature, c’est permettre la multiplicité des genres et des styles ! Nous avons tous besoin de cette ouverture d’esprit.

J’ai toujours aimé la science-fiction, l’espace. Je lis régulièrement des ouvrages grand public sur l’astrophysique, notamment.

Yann, l’un de mes tout premiers clients, l’auteur de Sacrée descente, un ouvrage qui nous ouvre les portes de l’alcoolisme, m’a fait découvrir la vulgarisation scientifique en tant que correcteur. Et j’ai adoré travailler avec lui sur ce sujet !

J’ai trouvé la possibilité de relier mon amour de la science et mon appétence pour la correction de manuscrit ! Ma rigueur, mon sens du détail, mon bagage scientifique, tout concourt à mon plaisir de corriger de tels ouvrages !

Mon rêve ? Corriger un ouvrage sur l’astrophysique. Eh oui, les correcteurs ont des rêves aussi. ^^

Depuis que je suis enfant, l’Imaginaire est le genre de la littérature que je préfère. Ses histoires permettent de s’évader d’un quotidien qui est parfois anxiogène, surtout en ce moment.

Qu’il s’agisse de dragons, d’elfes ou de vaisseaux spatiaux, je suis prêt pour partir à l’aventure !

Je connais les subtilités de cette littérature et sais quels points spécifiques vérifier lors de mes corrections. C’est simple. Je suis en Imaginaire comme un poisson dans l’eau. C’est là que je révèle mon plein potentiel de correcteur de manuscrit.

Ce sont toutes ces expériences, ces choix, qui font de moi un parfait correcteur professionnel pour vous. J’ai l’amour du travail bien fait, un sens du détail exacerbé, et la passion de la langue française.

Faisons un bout de chemin ensemble, vous, votre manuscrit et moi !